Catégories : Rencontres BDSM
il y a 10 ans
Quelqu'un sonne à ta porte... Tu es seule, tu n'attends personne, qui cela peut-il être ?
Tu vas ouvrir, malgré un peu d'appréhension, à cette heure ci ça doit être le facteur. Un homme apparaît, plutôt pas mal mais tu ne le connais pas, - bonjour Nicole... Comment sait-il que tu t'appelle Nicole ? - Je viens de la part du comité de contrôle du vice... Tu n'y comprends rien, qu'est-ce que c'est que cette histoire, c'est forcément un canular, mais l'homme est entré et sans que tu ai pu réagir, a fermé la porte et rangé la clef dans sa poche.
Ne fait pas l’innocente, nous savons que tu es une petite vicieuse et nous avons décidé de te punir.
Ton cœur bat fort, tu essai de t’enfuir mais l'homme te rattrape en saisissant tes cheveux, il s'approche de ton oreille, - obéi moi ou sinon... Tu te sens piégée et forcée de te soumettre, - déshabille toi ! - Quoi !? - Obéi ! Tu te déshabille lentement, presque tremblante, tu rougis un peu, tu es inquiète, te voilà toute nue devant cet inconnu. - Tourne-toi ! Il regarde tes fesses, tu l'entends s'approcher, il est contre toi. Il passe sa main dans tes cheveux puis ses doigts caressent tes épaules et descendent lentement vers tes seins dont il presse les tétons, puis descendant encore, ils s'insinuent dans ton intimité, écartent tes lèvres, effleurent ton clitoris...
C'était ça la punition !? Finalement tu es déçu, ton inquiétude ne t'avait pas privée du désir sourd et confus d'un moment intense, mais soudain il saisit tes poignets et les attachent avec une cordelette prise dans sa poche, il s'assied sur une chaise placée derrière lui et te bascule sur ses genoux. Cette fois tu comprends que la punition sera plus longue, plus douloureuse, plus diversifiée... Tu craignais d'avoir mal mais, curieusement, la fessée que tu reçois est supportable, enfin, certains coups sont plus rudes et tes fesses commencent à "picoter" sérieusement. L'homme frappe avec la régularité d'un métronome et ne semble pas vouloir s’arrêter, le picotement du début se transforme peu à peu en douleur brûlante et ce feu est en train de t'envahir, tu te débat moins, tu tendrais presque ta croupe vers la mains qui s’abat, ton sexe est inondé et tu es prête à exploser. Mais cet homme est démoniaque, il a compris, la punition s'était transformée en récompense, il s'arrête.
- Lève-toi ! Il détache tes poignets, - allonge-toi sur la table !
Cette fois il sort une deuxième cordelette de sa poche, décidément... et ré-attache tes poignets avec tes chevilles, de tel sorte que tu te retrouves allongée, cuisse ouvertes, offerte. - Puisque tu t'es bien comportée, je vais te donner ce que tu attends. Il s'approche et, avec la même régularité métronomique que lorsqu'il te fessait, il lèche ton sexe brûlant avec la pointe durcie de sa langue, de bas en haut, entre tes lèvres, jusqu'à ton petit clitoris gonflé d'envie, et tu prie pour qu'il ne s'arrête jamais. Tu respires de plus en plus fort, de plus en plus vite, tu ne peux réprimer tes cris, tu te mets à trembler, tu es captive et immobile et ta seule perspective est de jouir comme jamais tu n'as jouis. Et enfin quand l'homme enfonce ses doigts dans ton sexe et ton anus, tu exploses en hurlant et en emprisonnant ces doigts dans ton corps tétanisé par le plus fulgurant et intense des orgasmes, qui ne s’arrêtera jamais...
« Salope ! Qu’est-ce que tu as cru, chienne en chaleur, que tu pouvais te livrer à tes vices sans en subir les conséquences, maintenant je sais ce que tu es, une petite pute impudique qui ne pense qu’à son plaisir, qui rêve de se faire pénétrer par des inconnus, nous allons te faire passer cette envie, crois-moi !
- Nous ? Il fait sans doute référence aux membres du comité » Il te détache les pieds et les poignets mais tu n’ose pas bouger, tu reste allongée là, offrant le spectacle obscène de ton sexe encore brûlant, ouvert, gonflé, insatisfait, tu aimerais tant te masturber pour soulager ce feu qui habite encore tout ton bas ventre, mais il vaut mieux que tu reste immobile, peut-être es-tu vraiment ce qu’il t’a dit : une salope, une chienne qui aime se faire prendre, une petite pute lascive qui adore fouiller dans le slip des mecs pour sentir se gonfler leur membre entre ses doigts, tu refermes tes cuisses et tu te contractes en imaginant ce bel outil t’envahir profondément, décidément cet enfoiré t’a chauffée à blanc…
On sonne à la porte, tu sursaute, l’homme va ouvrir, tu descends rapidement de la table, essayant de dissimuler ta nudité, ton cœur se met à battre à grands coups. La porte s’ouvre, un deuxième homme apparaît, visage carré, regard brutal, il porte une valise. « C’est la petite salope que nous devons dresser ? – Oui, c’est elle, je l’ai bien préparée, elle est chaude comme la braise » Et ils se mettent à ricaner, le nouveau venu ne me quitte pas des yeux, d’un ton sec il ordonne : « Mains sur la tête, écarte les jambes » Tu obéis, tu es inquiète. Il s’approche, pose sa valise au sol, l’ouvre, tu détournes le regard, trop effrayée par ce qu’elle pourrait contenir. Il en sort une lanière de cuir semi-rigide, coupée en deux dans la moitié de sa longueur, et s’approche. Sans rien dire, il commence à te donner des coups sur les cuisses, pendant qu’avec son autre main il fouille sans retenu ton intimité. La peur et l’excitation se mélangent dans ton esprit, tu te demande aussi ou est passé le premier homme, sera-t-il un simple spectateur ?
« Tourne-toi ! » Cette fois tu sens le cuir mordre tes fesses, une fois, deux fois, trois fois… Puis sa main te caresser longuement en s’immiscent jusqu’à ta fente et ton anus, 4, 5, 6, 7… Et encore sa main qui t’explore davantage et commence à s’attarder sur ton clitoris…Ah non, pas ça ! Le désir reprend le dessus, avec cette terrible envie de jouir que tu t’efforce de cacher à ces hommes, tu essais de penser à autre chose… 8, 9, 10, 11, 12… « Non, par pitié, ne me touchez plus ! » L’homme ricane encore, « suis-moi maintenant ». Sans que tu t’en aperçoives, le premier homme s’était déshabillé et t’attendait nu, allongé sur ton lit, le sexe dur. « Avance, prépare-toi à ta punition. Tu vas aller t’empaler sur la verge de mon ami en gardant ta croupe bien tendue et ton petit trou offert, je vais continuer à fouetter ton cul et si je t’entends jouir une seule fois, j’y enfoncerai mon membre jusqu’au milieu de tes tripes. » Une fois encore, apeurée, tu obéis. Tu te places à genoux au-dessus du premier homme, tu guide son sexe vers ta vulve bouillante et inondée de désir, tu te laisse glisser tout entière le long de cette tige délicieuse et douce, te voilà bien au fond, tu savoure cet instant si intense, tu fermes les yeux en mordant ta lèvre pour ne pas gémir. Une main te pousse brutalement vers l’homme allongé, t’écrasant contre lui, il caresse tes cheveux, embrasse tendrement ta nuque, tu ne sais pas quoi en penser, c’est inattendu. Moins cependant que le premier coup que tu reçois sur tes fesses tendues et ouvertes, tu n’avais pas oublié la teneur du châtiment. A chaque coup porté, ton bassin malgré lui se contracte et s’avance, et tu sens bouger en toi cette verge d’acier que tu veux oublier, à chaque coup porté la douleur se mélange au plaisir, ils finissent par se confondre et tu sais que tu n’échapperas pas à l’outrage suprême que le deuxième homme t’a réservé. Tu es brûlante, tu trembles, tu serres les dents, tu résistes, mais le cuir continu sa besogne, parfois il atteint ton anus incandescent, rendant toujours plus forte l’excitation.
« Tu résiste encore salope ! Petite pute ! »
Cette fois rien ne peut plus t’empêcher d’exploser dans un orgasme gigantesque, ta bouche est grande ouverte et tu cris ta jouissance, tu sais ce qui t’attend et tu ordonne en hurlant au deuxième homme : « Encule-moi ordure ! Enfonce-moi ta queue jusqu’au bout ! Laboure-moi le trou du cul espèce de salaud ! » Il s’exécute aussitôt, ayant pris soin de te lubrifier et de te préparer rapidement en t’écartant l’anus avec deux doigts, il s’enfonce d’un seul coup. Tu sens alors les membres des deux hommes te labourer comme tu l’as demandé, ta jouissance est extrême, continue, ininterrompue… Quand les deux hommes ont éjaculé en toi, ils t’abandonnent, seule, prostrée, encore fébrile, mais toi, insatiable, tu te caresses encore, pour que cet instant ne s’arrête jamais.
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